LA SPASMOPHILIE, MODE D’EMPLOI

Synthèse

Maladie incorrecte

ÊTES-VOUS SPAMOPHILE ?

Mal du siècle

Fatigue chronique, fibromyalgie & vaccinations

LIEN AVEC LA FIBROMYALGIE

Résultat-Conclusion

types de spasmophilie

La spasmophilie primaire, intrinsèque ou endogène, liée à une prédisposition génétique, inhérente à l’individu porteur du groupe tissulaire HLA-B35, qui peine à incorporer calcium et magnésium : c’est une maladie métabolique. On soigne cette spasmophilie avec la nutrithérapie, cure à appliquer à vie.

La spasmophilie secondaire, induite ou exogène, liée à une carence d’apport de ces minéraux ( raffinage, appauvrissement des sols, jeûnes, diurétiques,) à un défaut métabolique consécutif à des court-circuits (vaccins, antibiotiques, amalgames, pilule, additifs alimentaires, tabagisme). On rééquilibre avec la nutrithérapie.

La spasmophilie structurelle, d’origine mécanique, non congénitale, induite à la suite d’une naissance difficile par exemple, lorsqu’il a fallu employer forceps ou ventouse, après un accident (traumatisme crânien, coup du lapin, chute sur le coccyx, etc…) Pour venir à bout des problèmes en cascade entraînés par ce type de spasmophilie, qui présentera à l’analyse les mêmes carences que dans les deux cas précédents (car dans ces conditions les glandes endocrines ont peine à fonctionner), il faudra de la persévérance, car elle est plus complexe à soigner: il est difficile de la déceler, son traitement relève tout d’abord de thérapies manuelles comme l’ostéopathie, l’ étiopathie, la crâniothérapie. Le succès du traitement dépendra de la perspicacité et du doigté du thérapeute conjugués à la relation de confiance qui liera le patient à son thérapeute. Hélas, dans certains cas compliqués, il vaut mieux ne pas intervenir. Pourtant, il faut le savoir, tant que le problème structurel ne sera pas résolu, l’action des autres thérapies sera freinée.

Dans la réalité, on a affaire à des spasmophilies intriquées, un mélange de ces différents types de spasmophilie présents dans des proportions diverses selon l’histoire de l’individu. Savoir si on est spasmophile ou fibromyalgique et discerner à quelle catégorie on appartient, n’est pas toujours aisé.